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JO : aux origines de la crispation sur les athlètes transgenres et intersexes

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En juin 2022, la fédération internationale de natation décidait d’exclure de ses compétitions féminines les femmes transgenres ayant effectué une transition après leur puberté. Un peu moins d’un an plus tard, c’était au tour de World athletics, la fédération internationale d’athlétisme, de prendre une mesure similaire. Ces règles vaudront pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le Comité international olympique (CIO) laissant chaque fédération statuer sur ces questions.
Les deux instances ont justifié cette décision par un souci d’équité sportive : selon ces fédérations, le fait d’être née et d’avoir grandi en étant considérée comme un homme biologiquement donnerait un avantage à ces sportives, malgré le traitement hormonal qu’elles suivent dans le cadre de leur transition. Si la question des athlètes transgenres se pose depuis peu dans le sport de haut niveau, la question du genre et d’une iniquité que pourraient provoquer des athlètes jugées trop « masculines » dans les compétitions féminines, elle, est présente depuis le début du XXe siècle.
Mais cette exclusion des athlètes intersexes et transgenres se justifie-t-elle sur le plan scientifique ? Le fait d’avoir un taux de testostérone plus élevé que la moyenne des femmes, ou d’avoir effectué une puberté en tant qu’homme, donne-t-il un véritable avantage à ces sportives ? Pourquoi une telle crainte de l’iniquité sur les questions de genre ? Réponse dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde » avec Clément Martel, chef adjoint du service des sports au Monde.
Un épisode écrit et présenté par Adélaïde Tenaglia. Rédaction en chef : Margaux Lannuzel. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extrait du journal de 20 heures de France 2 du 20 août 2009.
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Mais cette exclusion des athlètes intersexes et transgenres se justifie-t-elle sur le plan scientifique ? Le fait d’avoir un taux de testostérone plus élevé que la moyenne des femmes, ou d’avoir effectué une puberté en tant qu’homme, donne-t-il un véritable avantage à ces sportives ? Pourquoi une telle crainte de l’iniquité sur les questions de genre ? Réponse dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde » avec Clément Martel, chef adjoint du service des sports au Monde.
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