#12 Romy Trajman : Peut-on guérir les blessures du passé familial ?

Métamorphose, éveille ta conscience !

Aujourd'hui dans Graine de Métamorphose, Agathe Lévêque reçoit Romy Trajman, artiste, réalisatrice et compositrice.

Les secrets, les non-dits, les incompréhensions…ce sont le lot de presque toutes les familles et chacun de nous est le résultat de son histoire familiale. Petits, c’est comme si rien de tout cela n’existait vraiment et puis, un jour, en grandissant, on remarque, on comprend, on peut sentir un poids sur nos épaules et se demander : Maintenant qu’est-ce que je vais faire de tout ça ? Est-ce que ma famille est à réparer ? Mon invitée du jour, jeune artiste qui réalise, produit, compose, écrit, a choisi, elle, de faire un film documentaire de tout cela. Grâce à lui, elle cherche à comprendre, à rapprocher les membres de sa famille et à trouver sa propre voix/voie.

Épisode #12

Quelques-unes des questions à Romy Trajman :

● Est-ce nécessaire de se sentir prêt pour entamer ce travail transgénérationnel ?

● Ton père un moment dit “les non dits sont pires que la parole, la parole peut libérer”, tu es d’accord avec ça ? Est-ce que tu penses que tout doit être dit dans une famille ?

● Est-ce qu’on peut vraiment réparer les blessures du passé et leurs conséquences ?

● Faut-il réparer nos relations familiales pour être en paix avec soi ?

Qui est mon invitée du jour Romy Trajman ?

Née à Bruxelles, Romy grandit en France et navigue entre cinéma et musique. A 22 ans, elle réalise son 1er film ‘Le divorce de mes marrants‘. Elle y compose la musique originale, avec Alexandre De La Baume.

Pour plus d’informations : le site dédié au film ledivorcedemesmarrants.com ou le compte instagram ledivorcedemesmarrants et suivre ton travail sur ton compte instagram @romytrajman.

Quelques citations du podcast avec Romy Trajman :

"Ça nous fait grandir de voir ses parents comme des être humains."

"C’est tellement moins violent de dire les choses, parce qu’en ne les disant pas on s’imagine tout."

"Ce qui est passionnant dans le documentaire c’est que la caméra fait corps avec la vraie vie et petit à petit elle se fond dans le décor."

"La caméra a été un filtre entre mon père et moi, mais un filtre artistique, à l’image de ce qu’il est."

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Bonne écoute

Photo DR

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