Player FM - Internet Radio Done Right
Checked 25d ago
Ajouté il y a sept ans
Contenu fourni par Radio Campus Paris. Tout le contenu du podcast, y compris les épisodes, les graphiques et les descriptions de podcast, est téléchargé et fourni directement par Radio Campus Paris ou son partenaire de plateforme de podcast. Si vous pensez que quelqu'un utilise votre œuvre protégée sans votre autorisation, vous pouvez suivre le processus décrit ici https://fr.player.fm/legal.
Player FM - Application Podcast
Mettez-vous hors ligne avec l'application Player FM !
Mettez-vous hors ligne avec l'application Player FM !
In Situ - Radio Campus Paris
Tout marquer comme (non) lu
Manage series 2111464
Contenu fourni par Radio Campus Paris. Tout le contenu du podcast, y compris les épisodes, les graphiques et les descriptions de podcast, est téléchargé et fourni directement par Radio Campus Paris ou son partenaire de plateforme de podcast. Si vous pensez que quelqu'un utilise votre œuvre protégée sans votre autorisation, vous pouvez suivre le processus décrit ici https://fr.player.fm/legal.
In situ est une émission qui fait de la science « sur place », au cœur même de la nature à l’œuvre. A travers les foisonnantes forêts tropicales, aux abords des volcans actifs, plongés dans une fourmilière sauvage ou dans l’immensité vertigineuse du cosmos : des milieux les plus extrêmes aux plus familiers, suivons, du bivouac au laboratoire, un jeune chercheur sur une expédition scientifique.Un jeudi par mois à 20h
…
continue reading
16 episodes
Tout marquer comme (non) lu
Manage series 2111464
Contenu fourni par Radio Campus Paris. Tout le contenu du podcast, y compris les épisodes, les graphiques et les descriptions de podcast, est téléchargé et fourni directement par Radio Campus Paris ou son partenaire de plateforme de podcast. Si vous pensez que quelqu'un utilise votre œuvre protégée sans votre autorisation, vous pouvez suivre le processus décrit ici https://fr.player.fm/legal.
In situ est une émission qui fait de la science « sur place », au cœur même de la nature à l’œuvre. A travers les foisonnantes forêts tropicales, aux abords des volcans actifs, plongés dans une fourmilière sauvage ou dans l’immensité vertigineuse du cosmos : des milieux les plus extrêmes aux plus familiers, suivons, du bivouac au laboratoire, un jeune chercheur sur une expédition scientifique.Un jeudi par mois à 20h
…
continue reading
16 episodes
Tous les épisodes
×C’est l’histoire de quatre copains d’enfance qui, bien conscients de la rupture entre les jeunes urbains et la nature, se sont investis dans une mission verte et vertueuse : remettre le jardinage au goût du jour. Les créateurs du site Dr Jonquille et Mr Ail veulent dépoussiérer cette pratique, celle qu’on croyait réservée à Tata Simone et ses cent mètres carrés de potager dans la Creuse. Grâce aux excellents conseils prodigués par ces urbains à la main verte, faire pousser des fraises sur son balcon, des légumes sur son perron, de la sauge dans son salon devient un vrai jeu d’enfant de parisiens. Le slogan de cette start up prometteuse : « Tout commence par une graine. » Les bonnes idées aussi visiblement… Le site de Dr Jonquille et Mr Ail: www.djma.fr Invités : Gaël Brelet et Daniel Yamba, co-fondateurs de Dr Jonquille et Mr Ail Réalisation : Florent Lacaille Chronique : Guillaume Marchand Animation: Hugo Struno…
Quand te reverrais-je, pays merveilleux ! Chaque année on compte toujours plus téméraires ou malchanceux comme ce pauvre Jean Claude qui se retrouvent coincé, perdu, blessé en pleine montagne. 15 000 tous les ans appellent les secours. Heureusement, une patrouille d’élite, les PGHM, sont sur le qui vive. Leur job : trouver la victime au plus vite pour la conduire à l’hôpital. Mais encore faut-il savoir où elle se trouve cette victime… Sur un télésiège comme Jean claude ? Facile. Mais lorsque l’individu est perdu, ou raconte n’importe quoi, c’est une autre paire de manche… C’est ce que nous explique Mattia Bunel, qui cherche au cours de sa thèse à améliorer les systèmes de localisation lors des secours en montagne. Réalisation : Florent Lacaille Chronique : Guillaume Marchand et Charlotte Mermier…
Inconnue, ténébreuse, redoutable... voila comment Jules Michelet décrivait la mer au milieu du XIXème siècle. A l’époque, on en était sur : au-delà de 600 mètres de profondeur, les conditions sont telles qu’aucune vie ne peut s’y développer. Mais depuis, de multiples campagnes d’explorations ont repoussé cette limite continuellement jusqu’à se rendre à l’évidence : le vivant est partout, jusqu'aux confins des abysses à 11 000 mètres de profondeur ! Pourquoi était-il impossible d'imaginer la vie à de telles profondeurs il y a encore 200 ans ? Comment se sont déroulées les grandes expéditions océanographiques ? Et dans quel contexte se sont-elles engagées ? Un câble télégraphique rompu, des minerais précieux ou des "fossiles vivants" : les motivations qui poussent l'Homme à la prospection ont varié au cours de notre histoire... Embarquons avec Sophie Bary à bord de ces grandes expéditions qui tentent, depuis 200 ans, d’y voir un peu plus clair dans ce monde si obscure… Neogymnocrinus richeri. On trouve cette espèce à grande profondeur dans l'océan Pacifique ouest, notamment au large de la Nouvelle-Calédonie. Sophie a mené son doctorat à l’école doctorale Frontières du vivant, sous la direction de Sarah Samadi (UMR 7138, ISYEB) et d’Anouk Barberousse, philosophe des sciences à l’Université Paris 4. Elle s'est intéressée à un grand programme français de campagnes océanographiques : MUSORSTOM, devenu en 2001 TROPICAL DEEP-SEA BENTHOS. Son travail visait à comprendre l’évolution de la vision scientifique et sociétale du vivant dans les fonds marins depuis 40 ans.…
C’est l’histoire d’un jeune Réunionnais qui a trouvé sa vocation en découvrant à Bali une plage aux allures de décharges public. Loin du paradis auquel il s’attendait. Quelques années plus tard le voilà au bord de la Seine, à Paris. Le doctorant tente de mesurer et comprendre une menace invisible mais plus insidieuse et probablement bien plus dangereuse : les micro-plastiques. D’où viennent-ils, ont-ils un impact sur les écosystèmes, comment des saloperies déversées à Paris plage peuvent-elles se retrouver piégées dans l’estomac d’une crevette à 10 000 mètres de profondeur au cœur du pacifique ? Plongeons avec Robin Treilles dans les eaux troubles de la Seine ! Robin Treilles, doctorant au LEESU (Laboratoire Eau Environnement et Systèmes Urbains), Université Paris-Est Créteil, lors d'une pêche au microplastiques sur la Seine.…
I
In Situ - Radio Campus Paris

I
In Situ - Radio Campus Paris

Une fois n'est pas coutume In Situ ne part pas très loin : juste sous nos pieds. C'est en effet dans les 30 premiers centimètres de terre que l'on retrouve toutes les ressources indispensables à l'écosystèmes : de l'humus, des minéraux mais aussi des bactéries, champignons, vers de terre... une microphone richissime encore presque inconnue, une véritable "boîte noire" souterraine. Pourtant, le sol de la planète est une ressource limitée qui disparaît peu à peu. Érosion, contamination, artificialisation… Tous les sept ans, c'est la surface du département du Cantal qui disparaît sous la pression des activités humaines. Partons explorer cette peau superficielle de la Terre avec l'étudiant et fin connaisseur du sol Victor Dupuy. Victor Dupuy est en Master 2 d’écologie au Muséum après avoir fait un BTS en gestion et protection de la nature et une licence pro en agro-écologie. Sa passion : les question d’agriculture et en particulier l’agro-écologie.…
C’est l’histoire d’un jeune explorateur dont les terres de mission se trouvent à plusieurs milliers de millions de kilomètre de la Terre. Là, dans ces mondes chaotiques où les températures avoisinent les -200 degrés celsius, où des pluies d’hydrocarbures se précipitent sur un sol en partie gelé, le scientifique tente de comprendre comment a pu se former la vie sur Terre. Il rêve aussi - soyons fous !- d’y découvrir un jour les tous premiers organismes extra-terrestres. Titan, Europe, Triton, ces satellites naturels qui gravitent autour de Saturne, Jupiter et Neptune sont des objets d'étude fascinants. Notamment par leurs nombreux points commun avec la Terre. Entre son laboratoire à Versailles (Latmos) et le prestigieux Jet Propulsion Laboratory (JPL) en Californie où il se rend 5 mois par an, notre thésard passe son temps à essayer de comprendre ces mondes mystérieux. Suivons David Dubois aux confins du système solaire et posons le pied sur ces incroyables lunes glacées.…
C’est l’histoire d’une jeune doctorante partie à Madagascar pour traquer un virus, celui responsable la fièvre de la Vallée du Rift. Cette maladie dite émergente touche principalement le bétail, tuant les petits et forçant les femelles à avorter. A Madagascar où le commerce des bovins occupe une place importante dans l’économie, la situation devient préoccupante. Mais il y a plus inquiétant : même s’il est encore relativement inoffensif, le virus peut aussi infecter l’homme. C’est dans ce contexte que Marie-marie Olive, chercheuse à l'Institut Pasteur et au CIRAD, a voulu enquêter sur ce nouveau fléau. Parmi ses interrogations : Comment le virus se propage-t-il dans la diversité de paysages et de climats que l’on retrouve sur l’île ? De quelle manière est-il transmis entre les réservoirs animaux (bétail, moustique) et jusqu’à l’homme ? Sur le terrain, les activités sont diverses : prélever des sérums de zébus, rencontrer les éleveurs, les vétérinaires, comparer les données entre les différentes zones géographiques. Et trouver des moyens de surveiller la population pour la protéger. Un travail de détective pluridisciplinaire pour comprendre la dynamique de ce virus qui nous échappe encore sur plein d'aspects. Suivons Marie-Marie Olive à Madagascar où sévit la fièvre de la vallée du rift… Réalisation : Julien Chronique de Flo' : En bon observateur de la politique, Florent propose de revenir sur les engagements politiques des... virus. Car, comme nos candidats, il y en a de tous les bords ! Ecoutez plutôt à 47 : 50.…
C'est l'histoire d'un jeune ethnologue parti enquêter sur une cohabitation en péril : celle des peuples d'Asie avec les éléphants. A partir de deux enquêtes ethnographiques menées en Inde et au Laos, Nicolas Lainé s'est interrogé sur l'importance des relations que les peuples du Nord Est Indien (les Khamtis) et du Laos (les Tai Lue et Tai Lao) entretiennent avec les pachydermes. Dans les deux régions, les éléphants travaillent : ils jouent par exemple un rôle considérable dans l'exploitation du bois de forêt. Ils chargent, transportent, soulèvent... Des pratiques qui font hérisser le poil des organismes internationaux de défense et de conservation des éléphants qui, de plus en plus, privent ces peuples traditionnels de leur plus fidèle compagnon. Conséquence ? D'un côté les hommes ne parviennent plus à mener leurs activités économiques ; de l'autre les éléphants, enrôlés dans des activités touristiques ou contraints au "ré-ensauvagement", perdent repères, attention, considération. Selon notre ethnologue, le travail des éléphants ne relève pas systématiquement d’une relation de domination ou d'exploitation. Bien au contraire... D'où cette question : et si la clé de la conservation des éléphants d'Asie se trouvait dans cette collaboration, ou "coopération" entre hommes et éléphants ? Une thèse que soutient Nicolas Lainé. Suivons Nicolas à la rencontre de ces peuples asiatiques qui vouent un culte à ce qu'ils appellent "l'éléphant de village". -La nécro de Julie (2 : 30) : Julie revient sur le meurtre récent d'un rhinocéros blanc, braconné pour sa corne en plein zoo de Thoiry, dans les Yvelines. -La chronique "marxiste" de Florent (51 : 45) : Faut-il que les animaux se syndicalisent ?…
I
In Situ - Radio Campus Paris

C’est l’histoire de deux thésards dont la mission est d’étudier les écosystèmes avec comme seuls outils… des enregistreurs sonores. -Dans la forêt amazonienne, en Guyane, Juan Ulloa tend ses micros pour explorer l’incroyable diversité sonore qui y règne. Quiconque s’est déjà aventuré dans la jungle pour la première fois peut en témoigner : cris, chants, craquements, hurlements, stridulations forment un concert à la fois puissant et énigmatique. Dans le cadre de sa thèse (Muséum national d'Histoire naturelle, Université Paris-Saclay) Juan cherche à interpréter ces sons pour comprendre d’où ils viennent et ce qu’ils disent de la forêt, de sa biodiversité, de son évolution. >>>>>Ici le film de Juan sur son expédition en Guyane, dans le cadre du Festival Les chercheurs font leur cinéma. -Autre décor. Chaque année, de juin à septembre, des centaines de baleines à bosse migrent depuis l’Antarctique vers Madagascar pour s’accoupler et mettre bas. Anjara Saloma, doctorante à l’université Paris Saclay avec l'Université d'Antananarivo étudie, elle, les communications entre ces énormes cétacés. Et en particulier entre la mère et le jeune baleineau. Pourquoi et comment la mère alerte le petit des dangers, comment lui apprend-elle à souffler hors de l’eau ? Des mystères que l'acoustique pourrait permettre d'élucider. >>>>>Pour en savoir plus sur les baleines à bosses de Madagascar, allez voir l'association CETAMADA, où s'investit aussi Anjara. Si les milieux sont très différents, nos deux chercheurs ont comme point commun de s’être lancés dans deux disciplines peu connues et en plein essor : l’eco et la bio-acoustique. Suivons Juoan et Anjara de Guyane à Madagascar pour mettre la nature sur écoute. Dans sa chronique "épicée", Florent nous fait part d'une interrogation qui lui est venue subitement alors qu'il écoutait, la veille, les informations : Explorateur scientifique, et si c'était aussi un "emploi fictif" ? (à 46 : 50) Réalisation : Julie…
I
In Situ - Radio Campus Paris

C'est l'histo ire de deux jeunes givrés qui, à plusieurs reprises, ont posé leurs boots sur les deux latitudes les plus extrêmes du globe. Là où le blanc s'étire à perte de vue, et où l'on croise d'un côté des ours polaire, de l'autre des colonies de manchots. Françoise Amélineau, biologiste, a vécu 15 mois sur la base Dumont Durville en Antarctique, pour y étudier les chants des manchots (vous verrez, c'est du virtuose !) Puis aux antipodes, au Groenland, c'est sur de petits oiseaux, les mergules, qu'elle s'est penchée dans le cadre de sa thèse. Mathieu Gesta quant à lui, s'est fait embaucher deux fois en tant que photographe pour des croisières scientifiques polaires. Autant dire que nos deux invités connaissent très bien ces régions. Ils nous raconteront leurs aventures, les études scientifiques qu'ils y ont menées, et feront le point sur les recherches polaires actuelles et futures. En avant ! Chroniques : Julie (qui gère la console en même temps !) fait le point sur la fonte de la banquise avec le grand explorateur Jean Louis Etienne (23 : 04) Florent se demande si nos prochaines vacances, à tous, se feront... sur les pôles (50 : 03)…
C'est l'histoire d'une doctorante en paléontologie qui jeta son dévolu sur un lieu unique au monde : le site paléontologique d’Angeac-Charente, le plus grand gisement de dinosaures d’Europe. Laure Rozada a passé un mois sur place cet été. Et comme lors de chaque campagne de fouille à Angeac, les surprises furent au rendez-vous : après le sauropode en 2015, un squelette de stégosaure a été exhumé - vous savez ce grand dinosaure herbivore reconnaissable à ses plaques dorsales et ses épines sur la queue. Depuis sa découverte en 2010, le site paléontologique d’Angeac révèle chaque année de nombreux ossements de dinosaures (près d’un millier lors de chaque campagne de fouille), dont le plus célèbre est un fémur de sauropode de 2,23 m, constituant le plus grand os de dinosaure jamais découvert au niveau mondial. La paléontologue nous fait revivre les fouilles archéologiques qu'elle mène depuis plusieurs années, et nous transporte au fin fond du crétacé, il y a plus de 140 millions d'année. Chronique : Florent s'est posé une question qui le taraude depuis sa plus tendre enfance : à quoi ressembleront ses propres fossiles ? (48 : 50)…
C’est l’hist oire d’un jeune chercheur et artiste qui eut l’audace d’aller arpenter le plus long glacier du Népal, culminant à plus de 5 000 mètres d’altitude. C’est au mois de mai 2016 qu’il s’élance, non sans appréhension, sur le glacier Ngonzumpa. Le dos lesté d’un sac de 13kg et armé d’un petit appareil photo, notre aventurier et l’équipe de scientifiques qui l’accompagne ont un objectif : étudier l’impact du réchauffement climatique sur cette immense rivière de glace. Evidemment la situation n'est pas rose : à plus de 4 000 mètres des algues envahissent les lacs, plus haut, c'est une neige noire, la "black-ice", que découvrent, navrés, les scientifiques. Autant de témoignage du changement climatique déjà bien avancé. Quant au glacier, les écoulements engendrés par sa fonte menacent sérieusement les populations. Benjamin Pothier, chercheur en anthropologie, réalisateur, artiste nous fait revivre son expérience unique, de l'intense préparation physique aux travaux scientifiques menés tout au long du périple, en passant par sa rencontre avec les sherpas et cette violente tempête de neige dans laquelle il s'est fait piéger. Allez couvrez-vous bien et suivons Benjamin sur l’imposant glacier Ngozumpa. Chroniques : -Julie est allée interviewer la glaciologue et chef de mission Ulyana Horodyskyj sur la fameuse "black ice" retrouvée sur le glacier (à 32 : 45) -Le "poil a gratter" de Florent porte sur l’intérêt du film scientifique dans les enjeux et la sensibilisation écologiques (à 51 :00)…
Bienvenue sur Lecteur FM!
Lecteur FM recherche sur Internet des podcasts de haute qualité que vous pourrez apprécier dès maintenant. C'est la meilleure application de podcast et fonctionne sur Android, iPhone et le Web. Inscrivez-vous pour synchroniser les abonnements sur tous les appareils.