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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Je m’éveillai le 29 janvier à l’aube. À la place de mon père gisait un autre malade. On avait dû l’enlever avant l’aube pour le porter au crématoire. Il respirait peut-être encore... Son dernier mot avait été mon nom. Un appel, et je n’avais pas répondu."Par Blandine Masson
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durée : 00:59:02 - Fictions / Théâtre et Cie - 300 ans après sa création, France Culture propose L’île des esclaves de Marivaux en écho à la pièce Ben oui mais enfin bon écrite par Rémi De Vos à partir d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux sur les rapports de pouvoir, de classe et de langage dans le monde du travail.…
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durée : 00:59:02 - Fictions / Théâtre et Cie - 300 ans après sa création, France Culture propose L’île des esclaves de Marivaux en écho à la pièce Ben oui mais enfin bon écrite par Rémi De Vos à partir d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux sur les rapports de pouvoir, de classe et de langage dans le monde du travail.…
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durée : 00:52:48 - Fictions / Théâtre et Cie - Dans sa pièce "Ben oui mais enfin bon", Rémi De Vos s’inspire de l’intrigue d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux. Ici, les rapports de pouvoir et de langage sont exacerbés dans un monde du travail absurde, propice aux rapports de domination et de harcèlement.…
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durée : 00:52:48 - Fictions / Théâtre et Cie - Dans sa pièce "Ben oui mais enfin bon", Rémi De Vos s’inspire de l’intrigue d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux. Ici, les rapports de pouvoir et de langage sont exacerbés dans un monde du travail absurde, propice aux rapports de domination et de harcèlement.…
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durée : 00:20:33 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean-Philippe Bareil et Jean Samuel, amis de déportation de Primo Levi. Ils reviennent sur leur expérience des camps à travers des extraits de Si c’est un homme et de Les Naufragés et Les Rescapés.Par France Culture
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durée : 00:20:33 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean-Philippe Bareil et Jean Samuel, amis de déportation de Primo Levi. Ils reviennent sur leur expérience des camps à travers des extraits de Si c’est un homme et de Les Naufragés et Les Rescapés.Par France Culture
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Je m’éveillai le 29 janvier à l’aube. À la place de mon père gisait un autre malade. On avait dû l’enlever avant l’aube pour le porter au crématoire. Il respirait peut-être encore... Son dernier mot avait été mon nom. Un appel, et je n’avais pas répondu."Par Blandine Masson
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Pourquoi, mais pourquoi Le bénirais-je ? Toutes mes fibres se révoltaient. Parce qu’Il avait fait brûler des milliers d’enfants dans ses fosses ? Parce qu’Il faisait fonctionner six crématoires jour et nuit les jours de Sabbat et les jours de fête ? "Par Blandine Masson
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durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Pourquoi, mais pourquoi Le bénirais-je ? Toutes mes fibres se révoltaient. Parce qu’Il avait fait brûler des milliers d’enfants dans ses fosses ? Parce qu’Il faisait fonctionner six crématoires jour et nuit les jours de Sabbat et les jours de fête ? "Par Blandine Masson
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durée : 00:20:16 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean Samuel, ami de Primo Levi, comme lui rescapé du camp d'extermination d'Auschwitz où il l’a connu. Jean Samuel évoque ses souvenirs avec l'écrivain sur l'organisation de la vie dans le camp puis lit des passages de Si c'est un homme.Par France Culture
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durée : 00:20:16 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean Samuel, ami de Primo Levi, comme lui rescapé du camp d'extermination d'Auschwitz où il l’a connu. Jean Samuel évoque ses souvenirs avec l'écrivain sur l'organisation de la vie dans le camp puis lit des passages de Si c'est un homme.Par France Culture
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durée : 00:58:17 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Que se passe-t-il dans la tête de celles et ceux qui dansent, pendant les répétitions et pendant le spectacle ? Dans ce délicat « Chassé-croisé », l’autrice Marie Nimier nous fait partager leurs pensées, leurs rêves et leur histoire.Par France Culture
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durée : 00:58:17 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Que se passe-t-il dans la tête de celles et ceux qui dansent, pendant les répétitions et pendant le spectacle ? Dans ce délicat « Chassé-croisé », l’autrice Marie Nimier nous fait partager leurs pensées, leurs rêves et leur histoire.Par France Culture
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durée : 00:20:11 - Lectures du soir - En 1961, est passé commande à Roger Vailland d’une adaptation d’un roman de Nabovov, Chambre obscure. Le réalisateur pressenti est Roger Vadim mais le projet n’aboutira pas. On retrouve les thèmes chers à Vailland, la souveraineté, le plaisir, le jeu social, la modernité……
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durée : 00:20:11 - Lectures du soir - En 1961, est passé commande à Roger Vailland d’une adaptation d’un roman de Nabovov, Chambre obscure. Le réalisateur pressenti est Roger Vadim mais le projet n’aboutira pas. On retrouve les thèmes chers à Vailland, la souveraineté, le plaisir, le jeu social, la modernité……
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durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - "La vie intérieure, c’est cela : c’est savoir que la paix n’est pas dans le monde mais dans le regard de paix que nous portons sur le monde. C’est savoir que la joie n’est jamais pour demain, mais pour aujourd’hui, ou alors elle ne sera pas."Par France Culture
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durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - "La vie intérieure, c’est cela : c’est savoir que la paix n’est pas dans le monde mais dans le regard de paix que nous portons sur le monde. C’est savoir que la joie n’est jamais pour demain, mais pour aujourd’hui, ou alors elle ne sera pas."Par France Culture
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durée : 00:20:09 - Lectures du soir - Réflexion, essai, exercice d’admiration, cet ouvrage est daté de 1956. Roger Vailland brosse le portrait de ce diplomate et homme d'Église du XVIIIe siècle, qui exerça de nombreuses fonctions politiques. Il fut aussi libertin et amateur de plaisirs et fit la rencontre de Casanova.…
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durée : 00:20:09 - Lectures du soir - Réflexion, essai, exercice d’admiration, cet ouvrage est daté de 1956. Roger Vailland brosse le portrait de ce diplomate et homme d'Église du XVIIIe siècle, qui exerça de nombreuses fonctions politiques. Il fut aussi libertin et amateur de plaisirs et fit la rencontre de Casanova.…
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Il était une chose que seule la terreur pouvait obtenir, c’était que des centaines d’hommes bouillonnant au fond de la baraque fissent silence. Seule la terreur… et la poésie. Si quelqu’un récitait un poème, tous se taisaient un à un. Un manteau d’humanité les recouvrait.…
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durée : 00:19:58 - Lectures du soir - Les Mauvais coups, roman publié en 1948, évoque la fin d’un amour passionnel dévorant, la fin d’une saison, La Fête, publié en 1960, est à l’inverse un roman sur l’amour souverain, le début d’une autre saison.Par France Culture
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durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - "Je ne sais pas s’il existe une bénédiction plus grande que la rencontre d’un vieillard véritable, c’est-à-dire joyeux. Quand un vieil homme est joyeux, il est si fort qu’il n’a même plus besoin de parler. Il vient et il guérit"Par France Culture
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durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - "Je ne sais pas s’il existe une bénédiction plus grande que la rencontre d’un vieillard véritable, c’est-à-dire joyeux. Quand un vieil homme est joyeux, il est si fort qu’il n’a même plus besoin de parler. Il vient et il guérit"Par France Culture
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durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "Celui qui se bat combat pour lui, tout de suite, pour lui présent à lui-même dans l’instant où il combat, parce que c’est la seule solution possible dans le présent pour lui s’il veut être heureux."Par France Culture
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durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "Celui qui se bat combat pour lui, tout de suite, pour lui présent à lui-même dans l’instant où il combat, parce que c’est la seule solution possible dans le présent pour lui s’il veut être heureux."Par France Culture
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Avant de devenir résistant, j’ai voulu apprendre à danser ! Il y avait en moi un tel convoi de forces en route vers des actes, qu’il fallait bien qu’il occupât tous les chemins à la fois pour pouvoir passer.Par France Culture
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Avant de devenir résistant, j’ai voulu apprendre à danser ! Il y avait en moi un tel convoi de forces en route vers des actes, qu’il fallait bien qu’il occupât tous les chemins à la fois pour pouvoir passer.Par France Culture
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Peu à peu, je compris qu’aimer c’était voir et que haïr, c’était cela la cécité, la nuit. Je sentais donc qu’il y avait deux mouvements. Ou bien refuser le monde et c’était l’obscurité, c’étaient les chocs, ou bien l’accepter : c’étaient la lumière et la forcePar France Culture
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durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Peu à peu, je compris qu’aimer c’était voir et que haïr, c’était cela la cécité, la nuit. Je sentais donc qu’il y avait deux mouvements. Ou bien refuser le monde et c’était l’obscurité, c’étaient les chocs, ou bien l’accepter : c’étaient la lumière et la forcePar France Culture
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durée : 01:58:10 - Fictions / Théâtre et Cie - "J’ai demandé à Dieu et Dieu m’a dit : prends Bernstein." C’est avec ces mots qu’en 1943 Artur Rodzinski choisit comme assistant à la tête de l’Orchestre Philharmonique de New-York un jeune homme de 25 ans, pianiste, compositeur confidentiel, chef d’orchestre encore inconnu.…
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durée : 01:58:10 - Fictions / Théâtre et Cie - "J’ai demandé à Dieu et Dieu m’a dit : prends Bernstein." C’est avec ces mots qu’en 1943 Artur Rodzinski choisit comme assistant à la tête de l’Orchestre Philharmonique de New-York un jeune homme de 25 ans, pianiste, compositeur confidentiel, chef d’orchestre encore inconnu.…
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