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Journal de l’environnement:le vélo sous toutes ses formes

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Pédalons! Pédalons! Voilà le mot d’ordre qui circule en ce moment. Des pics de pollutions au plan vélo en passant par la multitude de vélo en libre service, le message est clair: pour nos poumons comme pour l’atmosphère deux roues valent mieux que quatre. Oui mais voilà si le vélo séduit de plus en plus, il souffre toujours d’une image vieillotte. Dans son blog sur les transports sur le site du Monde.fr, Olivier Razemon dresse la liste des « sept clichés les plus tenaces sur le vélo« . Encore considéré comme la voiture du pauvre, il est vu au mieux comme un sport du dimanche au pire comme un loisir comme un autre énumère l’auteur. Le vélo serait aussi pour quelques automobilistes obtus: un objet ridicule, un danger public ou encore une lubie de bobo.
Et l’auteur de souligner: « Dans l’imaginaire collectif, le bobo cycliste habite le centre-ville, dans ces quartiers autrefois populaires où l’on trouve désormais des magasins de décoration, des écoles privées et où les gargotes d’antan se sont transformées en restaurants trop chers et pas bons. Dans ces quartiers, point de culture automobile: lorsqu’un quidam assure qu’il va devoir « changer de plaquettes la semaine prochaine », on l’imagine atteint d’une grave maladie du sang. »
Dernier cliché soulevé par Olivier Razemon, le vélo comme objet fétiche des écolos. « Et voilà, écrit-il, notre pauvre vélo, qui n’en demandait pas tant, transformé en talisman écolo, trônant en bonne place entre l’éolienne, la yourte et la couche lavable ; la version mobile de la bougie à laquelle voudraient revenir « ces abrutis d’écologistes décroissants ». »
Alors démodé le vélo? Non. Etant donné les critiques, ce serait plutôt le cycliste qui déraille. Google a trouvé la parade: le Google bike: « la Bike, précise le site 01net.com, embarque un ensemble de capteurs miniaturisés, identiques à ceux intégrés à la Google Cars, mais moins coûteux, qui lui permettent de garder son équilibre, tandis qu’un moteur électrique, alimenté par des petits panneaux solaires et un accumulateur, lui permettent de se déplacer. » Un vélo qui avance tout seul en somme et couplé avec un GPS il peut vous emmener où vous le désirez. L’alternative idéale et encore un peu fantasmée à la voiture pour les petits trajets urbains. Les tests sont en cours.
Le grand avantage du vélo c’est qu’il ne consomme pas d’énergie polluante et qu’il en produit de la propre. On ne compte plus les lieux où l’on peut recharger son téléphone portable en pédalant. Dans les gares, les aéroports, sur les aires d’autoroutes, le We-bike permet de regagner quelques barres de batterie en faisant du sport. Et les déclinaisons sont multiples. Un article de la revue Science cité par Reporterre.net évoque les différentes machines du quotidien à travers le monde, élaborées à partir d’un pédalier: « un vélo pour broyer des fèves de cacao » au Mexique, « des vélos pour alimenter des moulins, des presses à légumes et à fruits, des pompes à eau » au Guatemala… Le constat est simple: la force humaine « permet de fournir des puissances de 300 W en instantané et 100 watts en continu. »
Et le vélo au bureau c’est pour quand? Eh bien pour dans pas longtemps. Un tandem de concepteurs new yorkais Andy Welkin et Steeve Blood a élaboré un vélo-bureau, le pedal Power. Le principe est simple, explique le site Huffingtonpost, il « rappelle celui des machines à coudre à pédalier Singer: assis, l’utilisateur pédale pour produire de l’électricité tandis que ses mains restent libre. »
L’enjeu désormais est de ne plus gaspiller l’énergie produite. Ainsi de certaines salles de sport qui se lamentaient sur les joules perdus dans la nature par ceux qui suent sang et eau sur leurs machines. En 2011, 20 minutes prenait l’exemple du California Fitness club de Hong, Kong, où « l’éclairage de la salle est assuré par les steppers, vélos et tapis de course qui produisent, lorsqu’ils sont tous utilisés, environ 300 watts. » Seul hic, le retour sur investissement: « Le «California Fitness Club» a ainsi calculé qu’il lui faudrait 82 ans pour que les appareils créent de la valeur en plus de créer de l’énergie. » Allez encore un petit effort.

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Et l’auteur de souligner: « Dans l’imaginaire collectif, le bobo cycliste habite le centre-ville, dans ces quartiers autrefois populaires où l’on trouve désormais des magasins de décoration, des écoles privées et où les gargotes d’antan se sont transformées en restaurants trop chers et pas bons. Dans ces quartiers, point de culture automobile: lorsqu’un quidam assure qu’il va devoir « changer de plaquettes la semaine prochaine », on l’imagine atteint d’une grave maladie du sang. »
Dernier cliché soulevé par Olivier Razemon, le vélo comme objet fétiche des écolos. « Et voilà, écrit-il, notre pauvre vélo, qui n’en demandait pas tant, transformé en talisman écolo, trônant en bonne place entre l’éolienne, la yourte et la couche lavable ; la version mobile de la bougie à laquelle voudraient revenir « ces abrutis d’écologistes décroissants ». »
Alors démodé le vélo? Non. Etant donné les critiques, ce serait plutôt le cycliste qui déraille. Google a trouvé la parade: le Google bike: « la Bike, précise le site 01net.com, embarque un ensemble de capteurs miniaturisés, identiques à ceux intégrés à la Google Cars, mais moins coûteux, qui lui permettent de garder son équilibre, tandis qu’un moteur électrique, alimenté par des petits panneaux solaires et un accumulateur, lui permettent de se déplacer. » Un vélo qui avance tout seul en somme et couplé avec un GPS il peut vous emmener où vous le désirez. L’alternative idéale et encore un peu fantasmée à la voiture pour les petits trajets urbains. Les tests sont en cours.
Le grand avantage du vélo c’est qu’il ne consomme pas d’énergie polluante et qu’il en produit de la propre. On ne compte plus les lieux où l’on peut recharger son téléphone portable en pédalant. Dans les gares, les aéroports, sur les aires d’autoroutes, le We-bike permet de regagner quelques barres de batterie en faisant du sport. Et les déclinaisons sont multiples. Un article de la revue Science cité par Reporterre.net évoque les différentes machines du quotidien à travers le monde, élaborées à partir d’un pédalier: « un vélo pour broyer des fèves de cacao » au Mexique, « des vélos pour alimenter des moulins, des presses à légumes et à fruits, des pompes à eau » au Guatemala… Le constat est simple: la force humaine « permet de fournir des puissances de 300 W en instantané et 100 watts en continu. »
Et le vélo au bureau c’est pour quand? Eh bien pour dans pas longtemps. Un tandem de concepteurs new yorkais Andy Welkin et Steeve Blood a élaboré un vélo-bureau, le pedal Power. Le principe est simple, explique le site Huffingtonpost, il « rappelle celui des machines à coudre à pédalier Singer: assis, l’utilisateur pédale pour produire de l’électricité tandis que ses mains restent libre. »
L’enjeu désormais est de ne plus gaspiller l’énergie produite. Ainsi de certaines salles de sport qui se lamentaient sur les joules perdus dans la nature par ceux qui suent sang et eau sur leurs machines. En 2011, 20 minutes prenait l’exemple du California Fitness club de Hong, Kong, où « l’éclairage de la salle est assuré par les steppers, vélos et tapis de course qui produisent, lorsqu’ils sont tous utilisés, environ 300 watts. » Seul hic, le retour sur investissement: « Le «California Fitness Club» a ainsi calculé qu’il lui faudrait 82 ans pour que les appareils créent de la valeur en plus de créer de l’énergie. » Allez encore un petit effort.

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